L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans le processus de recrutement et les chercheurs d’emploi n’en ont pas forcément conscience.

Elle permet notamment de procéder à des analyses poussées sur les candidats. Par exemple le temps de parole, les hochements de la tête, les expressions faciales, le ton de la voix…

Certaines sociétés l’utilisent déjà dans la présélection des candidats. L’Intelligence Artificielle leur permet de faire un premier tri parmi les CV et de choisir un profil qui se détache du lot.

Témoignage – Paru dans la revue “PANORAMA” – Édition 02/2020

«Lorsqu’ils regardent la première vidéo, ils effacent tout»

La société Di Marino Consulting, spécialisée en ressources humaines et en gestion de carrière, a collaboré au développement du logiciel Job Interview Training. Veronica Di Marino, directrice et coach, l’emploie depuis deux ans avec ses clients.

L’hyper-investissement émotionnel est un conditionnement puissant, dont il est parfois difficile de s’en rendre compte. Ce qui va indiquer progressivement à la personne qu’elle est en hyper-investissement, c’est son stress.

Il s’agit d’un comportement à tendance obsessionnelle qui entre dans le cadre des addictions comportementales. Et cette dernière est néfaste, car elle fait le lit des formes majeures des risques humains et des troubles psychosociaux.

Article paru dans le Magazine “Demain”, Chambre vaudoise du commerce et de l’industrie – Avril 2019

Cet article met en avant le rôle crucial des ressources humaines (RH) dans un contexte d’émergence de l’intelligence artificielle (IA) et des technologies dans le domaine du recrutement. Maria Anna Di Marino, insiste sur l’importance de maintenir l’humain au centre des préoccupations malgré les avancées technologiques. Elle présente le VRIST Job Interview Training (JIT) comme un exemple d’outil utilisant la réalité virtuelle pour préparer les demandeurs d’emploi aux entretiens d’embauche.

L’interview de Tristan Palese, expert en management intergénérationnel, explore les défis et les dynamiques des différentes générations sur le lieu de travail. Il aborde la transition attendue vers une main-d’œuvre dominée par la génération Y d’ici 2025 et discute de la “menace du stéréotype” qui affecte les perceptions des générations au travail.